Bien être et Santé

Avoir mal aux jambes ou les jambes lourdes, ce n’est pas forcément grave, mais c’est le signe de quelque chose. Il faut s’en préoccuper. Ce livre va vous permettre de venir à bout, par vous-même, du symptôme douleur, dans à peu près toutes les fatigues et douleurs des jambes, naturellement et sans effets secondaires. La plupart des méthodes sont à appliquer chez vous, mais pour certaines, le recours à un praticien sera indispensable. Grâce à des techniques simples mais très efficaces, vous obtiendrez des résultats durables : A chaque problème, une méthode efficace adaptée. De nombreux exercices à pratiquer. Des moyens naturels pour faire disparaître cellulite, culotte de cheval, pour redresser les jambes et guérir les varices. Des règles d’hygiène alimentaire indispensables pour compléter les exercices. Des adresses, des infos utiles.

Répertoriés avec la lettre E suivie d’un nombre, les additifs sont pourtant loin de tous se ressembler. Prenons le E 236 et le E 300. Le premier est l’acide formique, fortement soupçonné d’être cancérigène et interdit en France ; le second est l’acide ascorbique, vitamine C de synthèse, sans danger. À savoir : l’acide formique n’est pas totalement rayé de la carte, on le trouve encore dans le fromage Provolone, preuve du flou qui règne ici ou là, sans oublier les cas où l’additif considéré n’est pas soumis à l’étiquetage ! Cet ouvrage, dans sa première édition, a connu un immense succès. Ce nouvel opus, encore plus précis, riche et documenté, intègre les récents changements : nouvelles données scientifiques, nouvelles législations (il y a eu notamment les Directives européennes 2008 et 2009 mentionnant ou non tel additif), nouvelles interdictions ou autorisations, et même nouveaux additifs ! Ayez toujours à portée de main ce précieux guide, unique en son genre, indispensable pour vous repérer dans le maquis dangereux des additifs alimentaires et ne pas les laisser menacer votre santé !

Aujourd’hui, pas de fête entre ados sans alcool. Et l’amusant n’est pas de boire un verre, mais d’être  » bourré « . 6 jeunes sur 10 ont d’ailleurs déclaré avoir été ivres dans l’année. Ils ont 13-16 ans et s’entraînent à boire très rapidement, jusqu’à l’ivresse. Le binge drinking devient un phénomène de société. Les nouveaux mélanges, les prémix, les happyhours, la législation plus restrictive mais ambiguë, les parents qui leur ont appris à trinquer…, toute la société concourt à donner une image festive de l’alcool. Quel plaisir les ados trouvent-ils à s’enivrer ? Pourquoi doivent-ils forcément boire en grande quantité ? L’alcool est-il la nouvelle addiction des plus jeunes ? Et les mélanges, quel danger ? Les pertes de conscience, les comas éthyliques ont augmenté : qui sont les plus fragiles ? L’alcoolisation provoque aussi des comportements agressifs ou passifs, des risques d’accidents. Et, à plus long terme, connaît-on l’impact sur leur santé, leur scolarité, leurs liens sociaux ? Que faire ? Que leur dire ? Comment aider ceux qui ne savent pas s’arrêter ? Comment les parents peuvent-ils réagir au mieux ? Une enquête qui fait l’état des lieux, rapporte des histoires d’adolescents concernée et donne les conseils de professionnels.

Votre enfant/adolescent passe par des moments de dépression, de ralentissement, d’opposition, d’anxiété, de gaieté et d’énergie excessives. Vous connaissez ses crises de colère et de rage, ses conflits avec autrui, et surtout ses périodes où tout devient complexe, alors qu’il est en même temps attachant, sensible et affectueux. Ce sont les manifestations typiques de la BiPolarité Juvénile ou BPJ. Environ 5 à 8 % des jeunes sont dépressifs, dont la moitié serait en réalité atteinte de bipolarité.
Ce livre donne des réponses aux nombreuses questions des parents et des enseignants, et propose des solutions thérapeutiques et pédagogiques. L’étape clé est de poser le « bon » diagnostic, puis de mettre en place le traitement le plus adapté. Un livre essentiel pour vous accompagner et vous rassurer : votre éducation n’est pas en cause, ni vous ni votre enfant n’êtes responsables de la bipolarité, mais une prise en charge médicale est impérative pour le bien-être de l’enfant et de votre famille.