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Labyrinthe Des Sentiments
د.م. 780 sur 5Gharib est un poète qui aime à se perdre dans le dédale fascinant et contrasté des rues de Naples. Mais lorsqu’il y rencontre la jeune et sensuelle Wahida, c’est tout un pan du passé qui lui revient : l’amour passionné qu’il vécut autrefois, dans la même ville, avec Gazelle… Partagé entre son désir de sauver Wahida de sa détresse et le fantôme nostalgique d’un amour défunt, parviendra-t-il à donner corps à un sentiment pur ? Wahida ne se métamorphosera-t-elle pas, elle aussi, en une femme définitivement insaisissable… ? Dans ce roman où la poésie voisine la prose, Tahar Ben Jelloun fait de Naples le lieu d’un hymne à l’amour, la source d’une régénération sentimentale.
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Lampe D’aladino Et Autres Hist
د.م. 780 sur 5Douze histoires pour vaincre l’oubli, douze romans miniatures pour traverser les siècles et les continents: des confins de la Patagonie aux rues brumeuses d’Hambourg, Luis Sepûlveda convoque poètes et loups de mer, personnages légendaires et exilés de tous horizons. De sa voix unique, pleine d’humour et de poésie, il puise dans les mythes et les vestiges du passé pour perpétuer la mémoire du monde.
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Le Bachelier
د.م. 780 sur 5Petite chronologie du réfractaire Vallès – Dans « Un chapitre inédit de l’histoire du deux décembre » (8 septembre 1868), Vallès raconte comment il appartenait en 1851 à une petite bande, qui « était pour les mesures violentes et les coups hardis », laquelle faillit tuer « l’Empire dans l’œuf de la présidence », en se débarrassant de Bonaparte (le coup échoua). – Dans le même article, il rapporte comment la même bande prépara le jour même du deux décembre « une manifestation spontanée, violente, téméraire », visant à « enfiévrer le peuple, ébranler les soldats » ; mais l’armée de Bonaparte a l’ordre de vider les échoppes des armuriers et les insurgés n’ont plus que leurs mains pour lutter et leurs yeux pour pleurer. – Le 5 juillet 1853, il participe au « Complot de l’Opéra-Comique », qui vise à l’assassinat de Napoléon III : celui-ci échoue et Vallès doit purger une peine de six semaines de prison. Vallès semble s’être calmé de 1854 à 1864, années durant lesquelles il se consacre à ses études et cherche à se faire un nom d’écrivain. En septembre 1864, l’Association Internationale des Travailleurs est fondée à Londres. – Le 16 janvier 1865, Victor Duruy, ministre de l’Instruction publique, interdit à Vallès de prendre dorénavant la parole aux Entretiens littéraires de Lissagaray, où il aurait tenu « un langage inconvenant » et se serait livré à « des digressions politiques blâmables ». – D’août à octobre 1865, il est envoyé spécial à Londres pour L’Époque. – En mars 1866, le journal La Liberté de Girardin est sommé par le pouvoir de démettre Vallès de ses fonctions. – Le 21 février 1868, après avoir publié un article sur la police, Vallès est condamné à un mois de prison pour « injures publiques par écrit envers des agents de l’autorité ». – Condamnation à deux mois de prison le 27 octobre 1868 pour « excitation à la haine et au mépris du gouvernement ». – Chef de bataillon de la Garde nationale, il prend possession de la mairie du XIXe arrondissement le 31 octobre 1870 « comme maire provisoire » : il se rend ainsi « coupable d’émeute contre un gouvernement établi, d’usurpation de fonctions publiques, de vol à main armée et d’escroquerie vis-à-vis des particuliers ». – Le 7 janvier 1871, Vallès participe à la rédaction de l’Affiche rouge. – Le 12 mars 1871, il est condamné à six mois de prison pour son appel à la « Grève des loyers ». – Le 26 mars 1871, Vallès est l’un des trois élus du XVe arrondissement à la Commune de Paris. – En mai 1871, il est membre de la Commission de l’enseignement de la Commune de Paris. – En juin 1871, deux faux Vallès, dont un mouchard sont fusillés par la répression versaillaise. – À l’automne, il gagne la Belgique, puis l’Angleterre, où il vit en exil jusqu’en 1880. – En janvier 1872, il fonde le Cercle d’études sociales et participe aux travaux de la Commune révolutionnaire et de la Société démocratique socialiste – Le 4 juillet 1872, Vallès est condamné à mort, par Contumace, par le 6e conseil de guerre « pour pillage, complicité d’assassinat sur les otages, complicité d’incendie » et comme « membre de la Commune ». Deux témoignages contemporains 1) Jean Richepin, Les Étapes d’un réfractaire : Jules Vallès (1871), Préface de Steve Murphy, Seyssel, Champ Vallon, coll. « Dix-neuvième », 1993, p. 131-132 : [Richepin raconte, à sa mode, la conférence de Vallès sur Balzac qui lui avait valu l’interdiction du 16 janvier 1865 (voir ci-dessus)] « Il avait pris pour sujet Balzac, sa vie et ses œuvres. Il fit sensation : au point que la police dut intervenir et faire évacuer la salle […]. De Balzac, de sa vie et de ses œuvres, à peine un mot. Mais, en revanche, des paradoxes à foison, des idées bizarres, tout l’étalage de ses chimères voyantes et brutales, et cela dans un style cru, éloquemment réaliste, d’une virulence inouïe, dit de sa voix sourde et cassante. Le public interdit regardait avec stupéfaction cet énergumène à froid, qui gesticulait avec énergie, comme un boxeur voulant frapper la société et la tradition à coups de poing […]. Il mordait la famille, égratignait la propriété, crevait à coups de pied le ventre de l’ordre, cassait le nez à l’héroïsme, pochait l’œil aux arts, passait un croc-en-jambe à la philosophie, aplatissait la solennité qui, disait-il, nous écrase depuis quatre siècles, et finissait par mettre la société et la religion par terre sur les deux épaules, à bras-le-corps, en s’écriant : “Dieu ne nous gêne plus !” Il avait tombé la civilisation moderne, et il plantait sur cette ruine imaginaire le drapeau social en proclamant la souveraineté absolue du peuple. Tout le monde était bouleversé, aussi bien dans la salle que dans son discours. Les uns sortaient, les autres essayaient de murmurer ; la plupart étaient atterrés par tant d’audace. Il y en eut qui crurent à une mystification. La police crut à une révolte et creva tous ces ballons d’essai en fermant la porte. Vallès rayonnait ; et en sortant il dit à un ami : “Je les ai rudement épatés, hein ? Ce n’est pas fini ; ils en verront bien d’autres !” » 2) Edmond et Jules de Goncourt, « Lettre à Vallès », datée de 1866, reproduite dans Alexandre Zévaès, Jules Vallès. Son œuvre, Portrait et Autographe, Paris, Éditions de la Nouvelle Revue Critique, coll. « Documents pour servir à l’histoire de la littérature française (II/8), 1932, p. 34-35 : [À propos de l’édition originale des Réfractaires dont Vallès leur avait fait parvenir un exemplaire] « Vous avez l’observation qui va au cœur ; vous avez le superbe mot cru de la vérité nouvelle et moderne. Il passe, dans toutes vos pages, cette amertume généreuse et mélancolique que donne aux âmes tendres et hautes le spectacle des misères sociales. Vous montrez des coins de martyrs dans des grotesques de la Bohème. Vous devinez cette grande danse des morts de Paris qui s’en va à la fosse commune. Vous avez le souffle et la fièvre de ce temps-ci. Nous aimons ce que vous écrivez pour tout cela, et encore pour la forme, le tour rare, l’épithète qui peint, le coup de pouce vivant qu’on sent dans votre phrase. »
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LE BONHEUR N’A PAS DE RIDES
0 sur 5د.م. 110Le prix initial était : د.م. 110.د.م. 77Le prix actuel est : د.م. 77.Le plan de Paulette, quatre-vingt-cinq ans, semblait parfait : jouer à la vieille bique qui perd la tête et se faire payer par son fils la maison de retraite de ses rêves dans le sud de la France. Manque de chance, elle échoue dans une auberge de campagne, au milieu de nulle part. La nouvelle pensionnaire n’a qu’une idée en tête : quitter ce trou, le plus vite possible ! Mais c’est compter sans sa nature curieuse et la fascination que les autres résidants, et surtout leurs secrets, ne tardent pas à exercer sur elle.
Que contiennent en effet les mystérieuses lettres trouvées dans la chambre de monsieur Georges ? Et qui est l’auteur de l’étrange carnet trouvé dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d’imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens. Pétillant ! Drôle ! Emouvant ! A lire sans attendre ! Sylvie, Fnac Nevers. -
LE CERCLE
د.م. 1400 sur 5ISBN 978-2-266-24280-6 EAN 9782266242806 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 789 pages Poids 0.39 Kg Dimensions 11,1 cm × 17,9 cm × 3,7 cm
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Le Chinois
د.م. 780 sur 5Une tache écarlate sur la neige. Plus loin, une jambe… En tout, dix-neuf personnes massacrées à l’arme blanche à Hesjövallen. Selon les médias, un psychopathe a frappé. Pour la juge Birgitta Roslin, tout est trop bien organisé. Sa seule piste: un ruban rouge chinois. Indice qui la mène jusqu’à Pékin, dans les familles des émigrés du siècle dernier. Les humiliés auraient-ils pris leur revanche ?
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Le cycle de Dune Tome 5
د.م. 1600 sur 5Le cycle de Dune Tome 5 Dans des mondes futurs, Atréides et Arkonens se disputent l’exploitation de l’épice sur Dune, planète hostile peuplée de Fremens et d’immenses vers attirés par les impulsions des moissonneuses. Alors que les cruels Arkonnens complotent avec l’empereur, Paul Atréides, le fils du duc Leto, semble être le messie attendu par les Fremens. Leto II, le Tyran, l’Empereur-Dieu, est mort depuis des milliers d’années, mais son souvenir est dans toutes les mémoires.
Sa disparition a entraîné la Grande Famine et la Dispersion de l’humanité à travers les univers. Pourtant ces désordres ont assuré la survie de l’humanité conformément aux plans du Tyran ; et ses Prêtres en tirent argument pour justifer leurs ambitions. Mais la Révérende Mère Taraza sait bien que le pouvoir vient de l’Epice, source de la prescience. La planète Dune, devenue Rakis, restera-t-elle le centre de toutes les intrigues alors que le Bene Tleilax a appris à produire l’Epice sans le secours des vers géants ? Les forces qui se mesurent dans l’ombre sont à l’affût du moindre signe.
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Le cycle des robots Tome 1
د.م. 1040 sur 5Première Loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger. Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la Première Loi. Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi. -
Le démon et mademoiselle Prym -Paulo Coelho
د.م. 760 sur 5Isolé dans une région montagneuse, le petit village de Bescos vit comme hors du temps. Le mal ne semble pas y avoir prise. Jusqu’au jour où survient un mystérieux étranger. La tentation et l’envie pénètrent dans le cœur des habitants : le village a sept jours pour choisir entre l’honneur et la misère, le crime et la fortune. L’homme naît-il bon ou mauvais ? Au travers des pensées de Mlle Prym, la jeune et jolie barmaid de l’hôtel, nous entrons au plus profond des âmes, où tourbillonnent pulsions, frustrations, angoisses, et rêves…
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Le Diable Et Le Bon Dieu
د.م. 780 sur 5Goetz : Je prendrai la ville Catherine : Mais pourquoi ? Goetz : Parce que c’est mal. Catherine : Et pourquoi faire le mal ? Goetz : Parce que le bien est déjà fait. Catherine : Qui l’a fait ? Goetz : Dieu le Père. Moi, j’invente.
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LE JEU DES PERLES DE VERRE
د.م. 1510 sur 5Qu’adviendrait-il si, un jour, la science, le sens du beau et celui du bien se fondaient en un concert harmonieux ? Qu’arriverait-il si cette synthèse devenait un merveilleux instrument de travail, une nouvelle algèbre, une chimie spirituelle qui permettrait de combiner, par exemple, des lois astronomiques avec une phrase de Bach et un verset de la Bible, pour en déduire de nouvelles notions qui serviraient à leur tour de tremplin à d’autres opérations de l’esprit ? Cette extraordinaire mathématique, c’est celle du jeu des perles de verre, que manie parfaitement Joseph Valet, héros fascinant et ludi magister jonglant avec tous les éléments de la culture humaine. Récit d’anticipation, roman d’éducation intellectuelle et religieuse, utopie pessimiste, Le Jeu des perles de verre est une des plus amples et savantes constructions littéraires d’Hermann Hesse.
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Le jour où tout a changé – Une leçon de vie par Laurent Gounelle
د.م. 2160 sur 5Et si une simple rencontre bouleversait le cours de votre existence ?
Un dimanche ordinaire sur les quais de San Francisco… Jonathan croise le chemin d’une bohémienne qui lui propose, dans un élan mystérieux, de lire son avenir. Par curiosité, il tend la main. Mais en un instant, l’atmosphère bascule : son regard se fige, son teint pâlit… et ce qu’elle lui révèle, il aurait préféré ne jamais l’entendre.
Dès lors, plus rien ne sera comme avant.
Ce moment déclenche un voyage inattendu, intime et profond, où Jonathan est confronté à ses choix, ses croyances et ses illusions. Au fil d’expériences troublantes et de rencontres marquantes, il entame une véritable quête de sens et de transformation intérieure.
📘 Un roman initiatique captivant sur le pouvoir de l’éveil personnel, la remise en question et la liberté d’être soi-même.
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LE K
د.م. 1050 sur 5Devenu, avec Le Désert des Tartares, un classique du XXe siècle, Le K ouvre un recueil de 50 contes fantastiques où l’on retrouve tous les thèmes poignants et familiers de Dino Buzzati : la fuite des jours, la fatalité de notre condition de mortels, l’angoisse du néant, l’échec de toute vie, le mystère de la souffrance et du mal. Autant d’histoires merveilleuses, tristes ou inquiétantes pour traduire la réalité vécue de ce qui est par nature incommunicable.
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Le Maître du Haut Château
د.م. 1430 sur 51948, fin de la Seconde Guerre mondiale et capitulation des Alliés. Vingt ans plus tard, dans les Etats-Pacifiques d’Amérique sous domination nippone, la vie a repris son cours. L’occupant a apporté avec lui sa philosophie et son art de vivre. A San Francisco, le Yi King, ou Livre des mutations, est devenu un guide spirituel pour de nombreux Américains, tel Robert Chidan, ce petit négociant en objets de collection made in USA.
Certains Japonais, comme M. Tagomi, dénichent chez lui d’authentiques merveilles. Tandis qu’un autre livre, qu’on s’échange sous le manteau, fait également beaucoup parler de lui : Le Poids de la sauterelle raconte un monde où les Alliés, en 1945, auraient gagné la guerre…
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