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  • Le gai savoir

    Le gai savoir

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    د.م. 108

    Ce livre […] semble être écrit dans le langage d’un vent de dégel : on y trouve de la pétulance, de l’inquiétude, des contractions et un temps d’avril, ce qui fait songer sans cesse au voisinage de l’hiver, tout autant qu’à la victoire sur l’hiver, à la victoire qui arrive, qui doit arriver, qui est peut-être déjà arrivée… La reconnaissance rayonne sans cesse, comme si la chose la plus inattendue, ce fut la guérison.
     » Gai savoir  » : qu’est-ce sinon les saturnales d’un esprit qui a résisté patiemment, sévèrement, froidement,, sans se soumettre, mais sans espoir, – et qui maintenant, tout à coup, est assailli par l’espoir de guérison, par l’ivresse de la guérison ? […]  » Incipit tragaedia  » – est-il dit à la fin de ce livre d’une simplicité inquiétante : que l’on soit sur ses gardes ! Quelque chose d’essentiellement malicieux et méchant se prépare : incipit parodia, cela ne laisse aucun doute…
    Friedrich Nietzsche. Ecrit entre 1881 et 1887, publié une première fois en 1882, dans une version incomplète, repris et parachevé ensuite. Le Gai Savoir confirme et conforte le radicalisme nietzschéen. Les grands thèmes de sa réflexion sont désormais parvenus à leur pleine maturité. L’idéal, la nécessité de l’héroïsme en philosophie, l’analyse de la décadence, mais aussi le principe de l’éternel retour, le mythe de Zarathoustra, la connaissance, la religion c’est un véritable bréviaire du  » nietzschéisme  » qui apparaît au fil des pages.

  • Le guide anti-Alzheimer - Les secrets d'un cerveau en pleine forme

    Le guide anti-Alzheimer – Les secrets d’un cerveau en pleine forme

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    د.م. 235

    Où ai-je mis mes clés ? Comment s’appelle-t-il déjà ? Nous avons tous de petits oublis au quotidien. Mais, avec l’âge, nous finissons par nous interroger : et si c’était la maladie d’Alzheimer ? Voici un guide qui donne des pistes pour, à tout âge, retarder l’arrivée des premiers signes ou repousser l’échéance de la maladie. Philippe Amouyel est professeur de santé publique au CHU de Lille et directeur de la Fondation Plan Alzheimer.
    Spécialiste des maladies du vieillissement, il dirige une unité de recherche de l’INSERM et coordonne l’initiative internationale de recherche sur les maladies neurodégénératives. · Des mesures individuelles de prévention organisées autour de RITUELS SIMPLES. · De NOMBREUX TESTS ET CONSEILS pour agir sur les facteurs d’apparition de la maladie. · Des EXERCICES ACCESSIBLES A TOUS et fondés sur les données scientifiques les plus récentes.

  • LE JEU DES PERLES DE VERRE

    LE JEU DES PERLES DE VERRE

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    د.م. 151

    Qu’adviendrait-il si, un jour, la science, le sens du beau et celui du bien se fondaient en un concert harmonieux ? Qu’arriverait-il si cette synthèse devenait un merveilleux instrument de travail, une nouvelle algèbre, une chimie spirituelle qui permettrait de combiner, par exemple, des lois astronomiques avec une phrase de Bach et un verset de la Bible, pour en déduire de nouvelles notions qui serviraient à leur tour de tremplin à d’autres opérations de l’esprit ? Cette extraordinaire mathématique, c’est celle du jeu des perles de verre, que manie parfaitement Joseph Valet, héros fascinant et ludi magister jonglant avec tous les éléments de la culture humaine. Récit d’anticipation, roman d’éducation intellectuelle et religieuse, utopie pessimiste, Le Jeu des perles de verre est une des plus amples et savantes constructions littéraires d’Hermann Hesse.

  • LE MALHEUR DU BAS

    LE MALHEUR DU BAS

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    د.م. 130

    « Au coeur de la nuit, face au mur qu’elle regardait autrefois, bousculée par le plaisir, le malheur du bas lui apparaît telle la revanche du destin sur les vies jugées trop simples ». Marie vit une existence paisible avec son époux, jusqu’au jour où elle est violée par le directeur de l’agence bancaire où elle travaille. Elle choisit de ne rien dire. Piégée par son silence, isolée au sein de sa propre famille et de son couple, enfermée dans un quotidien d’une insoutenable banalité, sa détresse grandissante va la pousser à commettre le pire.

    Dans ce premier roman suffoquant, Inès Bayard dissèque la vie conjugale d’une jeune femme à travers le prisme du viol et livre un récit remarquablement dérangeant.

  • LE POETE

    LE POETE

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    د.م. 168

    Chroniqueur judiciaire, Jack McEvoy ne peut croire au suicide de son frère jumeau. Si Sean, inspecteur de police, s’est bien tiré une balle dans la bouche, que vient faire ce Hors de l’espace, hors du temps d’Edgar Allan Poe écrit sur le pare-brise de sa voiture ? Et pourquoi Rusher, un indic qu’il devait voir ce jour-là, reste-t-il introuvable ? En s’immisçant dans une base de données du FBI pour les besoins d’un article, McEvoy découvre avec stupéfaction que beaucoup de policiers se suicident et que le FBI mène l’enquête sur la mort de son frère.

    Il comprend alors que cette affaire est en passe de lui fournir son plus gros scoop sur des meurtres en série. Mais il pressent aussi qu’il est devenu la prochaine cible du suspect… LE classique absolu pour les fans de romans policiers. Un livre au suspense implacable qui [a placé] Connelly au même niveau que Raymond Chandler ou James Ellroy, et l'[a fait] connaître dans le monde entier. François Busnel, Lire.

    Prix Mystère de la critique en 1998.

  • LE PROCES

    LE PROCES

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    د.م. 77

    On raconte que c’est grâce aux éditions clandestines du samizdat – et donc, sans nom d’auteur – que fut introduite en Union soviétique la traduction du Procès. Les lecteurs pensèrent, dit-on, qu’il s’agissait de l’oeuvre de quelque dissident, car ils découvraient, dès le premier chapitre, une scène familière : l’arrestation au petit matin, sans que l’inculpé se sût coupable d’aucun crime, les policiers sanglés dans leur uniforme, l’acceptation immédiate d’un destin apparemment absurde, etc.

    Kafka ne pouvait espérer une plus belle consécration posthume. Et pourtant, les lecteurs russes se trompaient. Le projet de Kafka n’était pas de dénoncer un pouvoir tyrannique ni de condamner une justice mal faite. Le procès intenté à Joseph K., qui ne connaîtra pas ses juges, ne relève d’aucun code et ne pouvait s’achever ni sur un acquittement si sur une damnation, puisque Joseph K. n’était coupable que d’exister.

  • Le Prophete

    Le Prophete

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    د.م. 78

    Cette oeuvre semi-religieuse, semi-prophétique, connaît, depuis 1923, année de la publication de la version définitive en anglais, un immense succès auprès d’un public toujours renouvelé. Gibran, écrivain et penseur libanais (1883-1931), a voulu, comme le dit Adonis, « faire éclore dan s l’homme tout ce qui le dépasse et tout ce qui est plus grand que…

  • LE SUMO QUI NE POUVAIT PAS GROSSIR

    LE SUMO QUI NE POUVAIT PAS GROSSIR

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    د.م. 86

    Sauvage, révolté, Jun promène ses quinze ans dans les rues de Tokyo, loin d’une famille dont il refuse de parler. La rencontre surprenante d’un maître du sumo, qui décèle un « gros » en lui malgré son physique efflanqué, va l’entraîner dans la pratique du plus mystérieux des arts martiaux. Avec lui, Jun découvre le monde insoupçonné de la force, de l’intelligence et de l’acceptation de soi. Mais comment atteindre le zen lorsque l’on est dans la douleur et la violence ? Comment devenir sumo quand on ne peut pas grossir ?

  • LE TRAIN DE 16 H 50

    LE TRAIN DE 16 H 50

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    د.م. 99

    Roulant dans la même direction et presque à vitesse égale, les deux trains semblaient disputer un match.Mrs McGillicuddy, pour se distraire, regardait les occupants du compartiment qui s’offrait à sa vue. Ce qu’elle vit lui arracha un cri. Debout, le dos tourné, un homme serrait la gorge d’une femme : il l’étranglait. Le hasard voulut que le « 16 h 50 » ralentît et que le train « parallèle » le dépassât, disparaissant ainsi dans la nuit.

  • LES CHATIMENTS

    LES CHATIMENTS

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    د.م. 90

    L’histoire ne marche pas à reculons. On ne fonde pas un empire bourgeois sur les ruines d’une république. Pour l’avoir clamé, Victor Hugo est exilé par celui qu’il appelait Napoléon le petit, caricature de l’autre, celui des soldats de l’an II, celui de Waterloo. La République, croit-il, c’est le progrès moral, la vertu individuelle, la légitimité, le peuple justement représenté.  » Dix millions, cent millions de voix scrutinant en masse ne comptent pas devant cet atome, devant cette parcelle de Dieu, l’âme du juste.  » Victor Hugo sera ce juste qui se dresse devant le coup d’Etat du prince Napoléon.  » Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée.  » Ils résonnent encore dans ces vers grandioses et passionnés, pleins d’un rêve de justice et d’égalité.

  • LES ECHELLES DU LEVANT

    LES ECHELLES DU LEVANT

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    د.م. 120

     » Echelles du Levant « , c’est le nom qu’on donnait autrefois à ce chapelet de cités marchandes par lesquelles les voyageurs d’Europe accédaient à l’Orient. De Constantinople à Alexandrie, en passant par Smyrne, Adana ou Beyrouth, ces villes ont longtemps été des lieux de brassage où se côtoyaient langues, coutumes et croyances. Des univers précaires que l’Histoire avait lentement façonnés, avant de les démolir. Brisant, au passage, d’innombrables vies. Le héros de ce roman, Ossyane, est l’un des ces hommes au destin détourné. De l’agonie de l’Empire ottoman aux deux guerres mondiales et aux tragédies qui, aujourd’hui encore, déchirent le Proche Orient, sa vie ne pèsera guère plus qu’un brin de paille dans la tourmente. Patiemment, il se souvient, il raconte son enfance princière, sa grand-mère démente, son père révolté, son frère déchu, son séjour en France sous l’Occupation, sa rencontre avec sa bien-aimée fugitive, Clara, leurs moments de ferveur, d’héroïsme et de rêve ; puis la descente aux enfers. Dépossédé de son avenir, de sa dignité, privé des joies les plus simples, que lui reste-t-il ? Un amour en attente. Un amour tranquille, mais puissant. Peut-être, en fin de compte, plus puissant que l’Histoire.

  • LES EXILES MEURENT AUSSI D'AMOUR

    LES EXILES MEURENT AUSSI D’AMOUR

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    د.م. 143

    Shirin a huit ans quand, au lendemain de la révolution islamique en Iran, elle s’installe à Paris avec ses parents pour y retrouver sa famille maternelle. Dans cette tribu de réfugiés communistes, le quotidien n’a plus grand-chose à voir avec les fastes de Téhéran. Shirin découvre que les idéaux mentent et tuent ; elle tombe amoureuse d’un homme cynique ; s’inquiète de l’arrivée d’un petit frère oedipien et empoisonneur ; admire sa mère magicienne autant qu’elle la méprise de se laisser humilier par ses redoutables soeurs ; tente de comprendre l’effacement de son père…

    et se lie d’amitié avec une survivante de la Shoah pour qui seul le rire sauve de la folie des hommes. Ce premier roman teinté de réalisme magique nous plonge au coeur d’une communauté fantasque, sous l’oeil drôle, tendre, insolent et cocasse d’une Zazie persane qui, au lieu de céder aux passions nostalgiques, préfère suivre la voie que son désir lui dicte. L’exil oserait-il être heureux ? Un festin de culture persane et de réflexions tranchantes écrit avec une élégance insolente.

    Marguerite Baux, Elle. Une saga familiale sans pudeur ni mièvrerie. Eugénie Bastié, Le Figaro.

  • LES LIMITES DE LA PENSEE

    LES LIMITES DE LA PENSEE

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    د.م. 130

    Lorsqu’un grand maître spirituel exigeant mais étranger à tout dogmatisme – Krishnamurti – et un éminent physicien, spécialisé dans la recherche fondamentale – David Bohm -, se retrouvent face à face, on pourrait s’attendre à un dialogue de sourds, ou à une rude confrontation, tant leurs univers semblent s’opposer. Pourtant, ces deux personnages hors du commun, qui étaient aussi deux amis, ont su aborder les questions fondamentales de l’existence avec une grande perspicacité, des qualités pédagogiques certaines, un souci de vérité et de précision dans l’argumentation qui font des Limites de la pensée un ouvrage essentiel pour tous ceux qui s’intéressent à l’exploration de ces zones mystérieuses au carrefour de la métaphysique, de la morale et de la politique, de la philosophie et de la linguistique, de la religion et de la science. A aucun moment les auteurs n’assènent au lecteur leur propre vérité. Il s’agit ici d’un cheminement patient où les deux interlocuteurs s’accompagnent l’un l’autre le long des parcours sinueux de la pensée et de la perception ; c’est aussi une invitation à remettre en question le poids des traditions et notre quête d’un absolu que nous cherchons trop souvent là où il n’est pas.

  • LES MISERABLES T.1

    LES MISERABLES T.1

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    د.م. 140

    Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.

    Hauteville-House, 1er janvier 1862. Victor Hugo .

  • LES OUBLIES DU DIMANCHE

    LES OUBLIES DU DIMANCHE

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    د.م. 140

    Justine, vingt et un ans, vit chez ses grands-parents avec son cousin Jules depuis la mort de leurs parents respectifs dans un accident. Justine est aide-soignante aux Hortensias, une maison de retraite, et aime par-dessus tout les personnes âgées. Notamment Hélène, centenaire, qui a toujours rêvé d’apprendre à lire. Les deux femmes se lient d’amitié, s’écoutent, se révèlent l’une à l’autre. Grâce à la résidente, Justine va peu à peu affronter les secrets de sa propre histoire.

    Un jour, un mystérieux « corbeau » sème le trouble dans la maison de retraite et fait une terrible révélation. A la fois drôle et mélancolique, un roman d’amours passées, présentes, inavouées… éblouissantes. Un beau livre sur la mémoire et la transmission, porté par une écriture sensible. Delphine Perras, L’Express styles. Une héroïne originale et attachante, un univers surprenant, une conteuse de grand talent.

    Nathalie Dupuis, Elle.

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