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A nous la liberté !
د.م. 1690 sur 5Comment accéder à la liberté intérieure ? Comment préserver en nous paix et volonté face aux difficultés de l’existence ? Dès l’enfance, nous sommes prisonniers de nos peurs, de nos préjugés et des conditionnements qui nous empêchent de vivre heureux. Les auteurs de Trois amis en quête de sagesse se réunissent à nouveau pour nous aider, pas à pas, à nous libérer des habitudes mentales, des blessures et des injonctions d’une société toujours plus tourmentée.
Garder le cap, rester en lien et nous connecter aux ressources intérieures n’ont jamais été si nécessaires.
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Le Gai Savoir
د.م. 910 sur 5» Toute philosophie qui assigne à la paix une place plus élevée qu’à la guerre, toute éthique qui développe une notion négative du bonheur, toute métaphysique et toute physique qui prétendent connaître un état définitif quelconque, toute aspiration, de prédominance esthétique ou religieuse, à un à-côté, à un au-delà, à un en-dehors, à un au-dessus-de, autorisent à se demander si la maladie n’était pas ce qui inspirait le philosophe médecin qui un jour aura le courage d’oser avancer la thèse : en toute activité philosophique il ne s’agissait jusqu’alors absolument pas de trouver la » vérité « , mais de quelque chose de tout à fait autre, disons de santé, d’avenir, de croissance, de puissance, de vie…
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Le gai savoir
د.م. 1080 sur 5Ce livre […] semble être écrit dans le langage d’un vent de dégel : on y trouve de la pétulance, de l’inquiétude, des contractions et un temps d’avril, ce qui fait songer sans cesse au voisinage de l’hiver, tout autant qu’à la victoire sur l’hiver, à la victoire qui arrive, qui doit arriver, qui est peut-être déjà arrivée… La reconnaissance rayonne sans cesse, comme si la chose la plus inattendue, ce fut la guérison.
» Gai savoir » : qu’est-ce sinon les saturnales d’un esprit qui a résisté patiemment, sévèrement, froidement,, sans se soumettre, mais sans espoir, – et qui maintenant, tout à coup, est assailli par l’espoir de guérison, par l’ivresse de la guérison ? […] » Incipit tragaedia » – est-il dit à la fin de ce livre d’une simplicité inquiétante : que l’on soit sur ses gardes ! Quelque chose d’essentiellement malicieux et méchant se prépare : incipit parodia, cela ne laisse aucun doute…
Friedrich Nietzsche. Ecrit entre 1881 et 1887, publié une première fois en 1882, dans une version incomplète, repris et parachevé ensuite. Le Gai Savoir confirme et conforte le radicalisme nietzschéen. Les grands thèmes de sa réflexion sont désormais parvenus à leur pleine maturité. L’idéal, la nécessité de l’héroïsme en philosophie, l’analyse de la décadence, mais aussi le principe de l’éternel retour, le mythe de Zarathoustra, la connaissance, la religion c’est un véritable bréviaire du » nietzschéisme » qui apparaît au fil des pages. -
PAR-DELA LE BIEN ET LE MAL
د.م. 1210 sur 5Le livre est dans ses parties essentielles une critique de la modernité, les sciences modernes, les arts modernes, sans en exclure la politique moderne. Je donne également des indications au sujet du type contraire qui est aussi peu moderne que possible, un type noble, un type affirmatif. Considéré ainsi, mon livre est l’école du gentilhomme, le mot pris dans un sens plus intellectuel et plus radicale qu’il n’a été fait jusqu’à présent. Rien que pour tolérer cette interprétation, il faut avoir du courage, il ne faut pas avoir appris la peur. Friedrich Nietzsche. Par-delà le bien et le mal (1886) ou le grand livre des synthèses. Toute la pensé de Nietzsche rassemblée dans des pages fulgurantes. Du doute radical sur la valeur des philosophies du passé à la critique virulente des préjugés moraux, en passant par la réévaluation des philosophes, la condamnation du christianisme et l’exaltation d’un discours de la science débarrassé de toute forme de croyance, Nietzsche bataille avec les idées reçues de son temps et détermine les conditions de l’événement d’une philosophie nouvelle. Un texte brûlant, qui peut se lire comme la version philosophique de Zarathoustra.
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PENSER L’ISLAM
د.م. 1210 sur 5Depuis son « Traité d’athéologie », nul n’ignore que Michel Onfray n’est pas l’ami des religions – qu’il considère, en homme des Lumières, comme des maladies propices à la haine, au fanatisme, à la négation des corps. Evidemment, l’Islam ne fait pas exception à cette critique radicale – au contraire. Il a donc accepté, dans ce livre, de répondre aux questions d’Asma Kouar, jeune journaliste algérienne – qui ne le ménage pas.
Or, Michel Onfray a lu le Coran. Et il l’a lu de très près. De telle sorte qu’il ne craint pas d’y percevoir – comme dans les autres monothéismes – de fréquentes apologies de la violence et de la guerre. Citant de nombreuses sourates, confrontant les interprétations, il place les musulmans devant la réalité d’un texte qui, à côtés de ces élans sublimes, fait également la part belle à la cruauté, à la haine des femmes, à l’esprit de conquête.
Puisque le retour du religieux, en occident, a pris désormais le visage de l’Islam, c’est à celui-ci, à son texte sacré, et aux conséquences de ce texte sacré – voire à ce que d’aucuns tiendraient pour de « l’islamophobie » – qu’il consacre ici sa réflexion. Ce dialogue est suivi par un texte intitulé « Puissance et décadence » – et sous-titré : « essai d’éthologie planétaire ». Dans ce texte, porté par un souffle puissant qui n’est pas sans évoquer celui des grandes philosophies de l’histoire à la Toynbee ou Spengler, Michel Onfray médite sur l’Europe et son destin.
Car, née chrétienne, l’Europe, selon lui, est entrée dans une phase de décadence irrésistible au profit de la seule force vitale et véritablement guerrière : l’islam. Avec une argumentation très semblable à celle de Michel Houellebecq dans Soumission, Michel Onfray analyse froidement le renoncement européen à ses propres valeurs. Et émet l’hypothèse (promise à de nombreuses polémiques) de son agonie au profit de ceux qui, à l’opposé, sont prêts à mourir pour leur foi.
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PLUS HAUTE DES SOLITUDE
د.م. 1070 sur 5Pour des hommes obligés de s’expatrier afin de vendre leur force de travail, l’absence d’affectivité se traduit quotidiennement ; abstinence forcée, refoulement croissant de leurs désirs sexuels. La misère matérielle dans laquelle ils vivent est de plus en plus connue et souvent dénoncée. Mais que dire de l’autre misère, moins visible, aussi évidente, celle de la solitude, celle qu’ils subissent dans la rue, dans la chambre, dans le sommeil ? C’est de cette misère vécue que Tahar Ben Jelloun témoigne, en transcrivant le discours de ces hommes venus le consulter dans le centre de médecine psychosomatique où il a exercé trois années durant.
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Théorie de la dictature – Précédé de Orwell et l’Empire maastrichien
د.م. 1300 sur 5« Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d’Orwell permettent de penser les dictatures du XX ? siècle. Je pose l’hypothèse qu’ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours. Comment instaurer aujourd’hui une dictature d’un type nouveau ? J’ai pour ce faire dégagé sept pistes : détruire la liberté ; appauvrir la langue ; abolir la vérité ; supprimer l’histoire ; nier la nature ; propager la haine ; aspirer à l’Empire.
Chacun de ces temps est composé de moments particuliers. Qui dira que nous n’y sommes pas ? « M. O.
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Trois amis en quête de sagesse – Un moine, un philosophe, un psychiatre nous parlent de l’essentiel
د.م. 1400 sur 5Depuis longtemps, ils rêvaient d’écrire un livre ensemble, pour être utiles, pour apporter des réponses aux questions que tout être humain se pose sur la conduite de son existence. Quelles sont nos aspirations les plus profondes ? Comment diminuer le mal-être ? Comment vivre avec les autres ? Comment développer notre capacité au bonheur et à l’altruisme ? Comment devenir plus libre ?… Sur chaque thème, ils racontent leurs expériences, leurs efforts, les leçons apprises en chemin, et nous proposent des conseils. Leurs points de vue sont différents, mais ils se retrouvent toujours sur l’essentiel. Un livre limpide et lumineux pour apprendre le métier de vivre.
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