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AICHA, LA BIEN-AIMEE DU PROPHETE
د.م. 1250 sur 5Choisie dès sa plus tendre enfance par Mahomet, Aicha ne le quittera plus jamais. Témoin privilégié des révélations envoyées au Prophète, elle sera parmi les premières à en retranscrire les versets, prenant ainsi une part centrale à la naissance de l’Islam. Depuis l’Hégire à Médine jusqu’à la bataille du Chameau, Geneviève Chauvel, retrace avec une attention minutieuse, l’épopée magnifique de la » Mère des Croyants « , figure d’exception à la vitalité et au prestige inégalés. Un ouvrage qui éclaire d’un jour inattendu les racines et la genèse du monde musulman, ainsi que la place de la femme dans l’Islam.
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BIBLE LE CORAN ET LA SCIENCE
د.م. 1290 sur 5Grâce à une étude objective des textes, Maurice Bucaille bouleverse nombre d’idées reçues à propos de l’Ancien Testament, des Évangiles et du Coran, cherchant à distinguer dans cet ensemble ce qui appartient à la Révélation de ce qui est entaché d’erreurs ou d’interprétations humaines. Son examen éclaire d’un jour nouveau les Livres saints. Au terme…
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CETTE LUMIERE EN NOUS – LA VRAIE MEDITATION
د.م. 1070 sur 5Au cours de nombreuses années de discussions avec des interlocuteurs venus de tous les horizons de la société, comme au cours de causeries publiques qui ont drainé des foules d’auditeurs partout dans le monde, Krishnamurti n’a cessé de souligner la nécessité de rentrer en soi-même, de se connaître soi-même, si l’on veut pouvoir comprendre les racines profondes des conflits communs à l’individu et à la société – car » nous sommes le monde « , et c’est donc notre chaos personnel qui est à la source du désordre général. Les extraits de causeries inédites présentés ici illustrent la vision intensément lucide grâce à laquelle Krishnamurti a su explorer et faire découvrir à tous la source originelle de sa vraie liberté, de sa vraie sagesse, de sa vraie vertu. Une vision qui défie le temps.
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CONFERENCE DES OISEAUX
د.م. 1330 sur 5Farid-ud-Din’Attâr fut l’un des plus grands poètes mystiques de cette époque glorieuse du soufisme où la quête divine atteignit des sommets inégalés. Rûmi, Hallaj, Saadi furent ses pairs. Parmi ses nombreuses oeuvres, La Conférence des oiseaux est la plus accomplie. Elle relate le voyage de la huppe et d’une trentaine de ses compagnons en quête de Simorgh, leur roi. De multiples contes, anecdotes, paroles de saints et de fous les accompagnent.
« Lis ce livre, chercheur, tu sauras où aller, dit le poète. Savoure-le longtemps et tu seras nourri. Car il a de quoi t’étonner. Tu le lis une fois et tu crois le connaître, mais non ! Lis-le cent fois, cent merveilles nouvelles ébahiront ton oeil ». La Conférence des oiseaux est un de ces livres qui se savourent et se fréquentent comme des amis nourriciers.
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DICTIONNAIRE ENCYCLOPEDIQUE DU CORAN
د.م. 1260 sur 5Ce dictionnaire se présente comme « un éclairage historique et contextuel de 1200 concepts contenus dans le Coran ». Il constitue une aide à la lecture pour les non initiés (renvois aux sourates, mots-clés, notions, personnages, lieux géographiques…)
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IBN’ARABI ET LE VOYAGE S.RETOU
د.م. 1180 sur 5« Je sus que ma parole atteindrait les deux horizons, celui d’Occident et celui d’Orient », déclare Ibn Arabî à la suite d’une vision survenue dans sa jeunesse. L’histoire lui a donné raison. Depuis plus de sept siècles, son oeuvre n’a cessé d’être lue, méditée, commentée dans toutes les langues vernaculaires de l’islam; il a exercé une influence majeure sur le « soufisme », la dimension mystique de l’islam. La vindicte persistante des oulémas (docteurs de la Loi de l’islam) à son égard atteste la force de sa présence parmi les « Hommes de la Voie ». Il est le grand Docteur mystique de l’islam. Pas de question intellectuelle et religieuse qu’il n’ait abordée dans son oeuvre immense (plus de quatre cents ouvrages !). Claude Addas retrace ici la vie et l’oeuvre de ce grand « voyageur », exceptionnel « vivificateur de la religion », comme on le désigne dans la tradition musulmane.
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L’ESPRIT ET LA PENSEE
د.م. 900 sur 5En dépit des prouesses de la technologie, les rêves de progrès se brisent face à ce constat effrayant : le chaos règne en de nombreux points du globe, la haine raciale et nationaliste sévit et donne libre cours aux pires barbaries, le doute s’installe dans les esprits quant à l’avenir « radieux » promis à l’humanité. Dans L’Esprit et la pensée, Krishnamurti évoque deux voies possibles pour renverser la situation. La première, la plus classique, consiste à vouloir changer les structures sociales, politiques et économiques. Pour l’auteur, cette voie est vouée à l’échec, car c’est la pensée qui l’inspire. La seconde, plus inattendue, passe par une mutation intérieure qui, elle, procéderait de l’esprit. Mais comment faire la distinction entre esprit et pensée, et en quoi sont-ils liés ? Plutôt que de livrer d’emblée les réponses, Krishnamurti invite le lecteur à observer pas à pas le panorama réel de nos processus mentaux, à voir les succès et les impasses sur lesquels ils débouchent. Il nous fait ainsi découvrir cette deuxième voie, celle où le changement ne se fonde plus sur une action volontariste et collective, mais mise sur une mutation radicale, individuelle, intime, inédite. Jiddu Krishnamurti (1895-1986) est un penseur très à part dans l’histoire des mouvements spirituels. Tout en dispensant son enseignement au cours de multiples conférences et à travers de nombreux ouvrages, il a toujours obstinément refusé toute position d’autorité, laissant à chaque individu la liberté entière d’interpréter son message. » Il est unique « , disait de lui Henry Miller, tandis que George Bernard Shaw le proclamait un » maître spirituel d’exception « .
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Le Prophete
د.م. 780 sur 5Cette oeuvre semi-religieuse, semi-prophétique, connaît, depuis 1923, année de la publication de la version définitive en anglais, un immense succès auprès d’un public toujours renouvelé. Gibran, écrivain et penseur libanais (1883-1931), a voulu, comme le dit Adonis, « faire éclore dan s l’homme tout ce qui le dépasse et tout ce qui est plus grand que…
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LES LIMITES DE LA PENSEE
د.م. 1300 sur 5Lorsqu’un grand maître spirituel exigeant mais étranger à tout dogmatisme – Krishnamurti – et un éminent physicien, spécialisé dans la recherche fondamentale – David Bohm -, se retrouvent face à face, on pourrait s’attendre à un dialogue de sourds, ou à une rude confrontation, tant leurs univers semblent s’opposer. Pourtant, ces deux personnages hors du commun, qui étaient aussi deux amis, ont su aborder les questions fondamentales de l’existence avec une grande perspicacité, des qualités pédagogiques certaines, un souci de vérité et de précision dans l’argumentation qui font des Limites de la pensée un ouvrage essentiel pour tous ceux qui s’intéressent à l’exploration de ces zones mystérieuses au carrefour de la métaphysique, de la morale et de la politique, de la philosophie et de la linguistique, de la religion et de la science. A aucun moment les auteurs n’assènent au lecteur leur propre vérité. Il s’agit ici d’un cheminement patient où les deux interlocuteurs s’accompagnent l’un l’autre le long des parcours sinueux de la pensée et de la perception ; c’est aussi une invitation à remettre en question le poids des traditions et notre quête d’un absolu que nous cherchons trop souvent là où il n’est pas.
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METTRE FIN AU CONFLIT
د.م. 1210 sur 5«Lorsqu’on accepte ce qui est, il n’y a plus de lutte. Toutes les formes de lutte ou d’effort sont l’indication d’une distraction, et celle-ci existe tant que, psychologiquement, on cherche à transformer ce qui est en quelque chose qui n’est pas». Dans ces conférences données à Madras en 1947, Krishnamurti rappelle que chacun porte en lui-même le conflit et la confusion qu’il faut dépasser pour atteindre un renouveau de l’esprit.
Il s’agit pour le penseur d’être dans un état d’esprit qu’il nomme «vivacité passive» ou «mécontentement disponible», propice à la lucidité. En effet, le chemin vers la libération intérieure passe par la prise de conscience de ce que l’on est. L’espace apparaît alors pour une autre façon de fonctionner, moins conflictuelle, plus paisible. «Reconnaître la vie pour ce qu’elle est met fin aux conflits.
Le fait de discerner ce qui est, c’est déjà s’en libérer».
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PROPHETE ET LE JARDIN DU PROPH
د.م. 1180 sur 5Le message du Prophète et du jardin du Prophète a connu, depuis la parution de ces livres (en 1923 et 1924), un succès immense. Le personnage mystérieux né de l’expérience mystique et de l’imagination poétique de Khalil Gibran a su épeler, d’une voix unique, les liens qui unissent l’homme à l’homme et l’homme à la nature. Des générations de lecteurs, jeunes en particulier, se sont reconnus ou ont découvert un appel à vivre dans le chant enflammé et les appels lyriques du Prophète.
Sont reprises ici les premières traductions françaises de ces deux grands livres.
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QU’EST-CE QUE LE SOUFISME ?
د.م. 1220 sur 5Dernière Révélation en date, l’Islam affirme être un retour à la religion primordiale. Il constitue par ailleurs un pont entre l’Orient et l’Occident. On comprend la portée du soufisme – la forme qu’a prise la mystique en Islam – qui se définit comme une « saveur », et dont le but est la connaissance directe des vérités divines. Ce livre, inédit en français, présente son histoire millénaire et son actualité, son originalité et son universalité, son but et sa méthode, dans leur ampleur et dans leur pureté.
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RUMI ET LE SOUFISME
د.م. 1210 sur 5Reconnu par les Occidentaux comme l’un des plus grands poètes mystiques et par les musulmans comme ne le cédant qu’au Coran, Rûmî était un homme de son temps, et reste de tous les temps. En Inde, en Afghanistan, en Iran, ses poèmes sont psalmodiés par les foules lors des pèlerinages ; dans le plus humble village turc, sa mémoire est vénérée. Mais surtout, il était porteur d’un message d’une brûlante actualité, fondé sur une expérience vécue, celle des misères de son époque, de la violence subie, de l’assassinat de son maître spirituel, aimé plus que lui-même.
Tel fut et demeure le Persan Djalâl-od-Dîn Rûmî (1207-1273), dit simplement Rûmî, poète immense, génie du soufisme, fondateur de l’ordre des Derviches tourneurs.
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TRANSFORMER SON ESPRIT – SUR LE CHEMIN DE LA SERENITE
د.م. 1050 sur 5L’Occident est malade. Malade de vitesse, d’énervement, de surexcitation. On saute d’un avion dans un autre. On travaille sous la pression de chefs d’entreprise qui imposent un maximum de rendement, on regarde pendant des heures des émissions abrutissantes à la télévision, on vit dans le stress et l’angoisse. Même les enfants sont touchés. Dès les classes primaires, pèse sur eux la lancinante question : seront-ils capables de suivre de bonnes études, d’intégrer une grande école ? Ce livre tente d’offrir une pause de réflexion spirituelle.
Le Dalai-Lama, symbole de la paix de l’âme, nous propose de découvrir une voie nouvelle capable de donner un sens à notre vie. En s’inspirant des principes du lojong, qui signifie littéralement » transformer l’esprit « , le maître en développe les thèmes : culture de la compassion, comportement équilibré à l’égard de soi-même et des autres, construction d’une pensée positive, transformation des situations négatives en moyens d’évoluer vers l’harmonie.
Cette discipline intérieure a un objectif apprendre à distinguer l’important du superflu et, au bout de la voie, trouver le bonheur et la sérénité.
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